L'ONU lance les Green Star Awards

 

Les Nations Unis et la Croix Verte Internationale ont lancés l'édition 2013 des Green Star Awards. Ce concours a pour but de récompenser ceux qui ont fait leur marque de le domaine de la gestion des urgences environnementales.

 

Ce concours peut récompenser les individus, les organisations, les gouvernements et les entreprises qui ont fait des efforts de prévention et de préparation face à une crise. Ces gens doivent avoir à coeur de réduire l'impact environnementale et humanitaire des catastrophes et des conflits. Les personnes qui vont être reconnu dans le domaine, vont avoir fait preuve de leadership et d'innovation.

Les Green Star Awards ne se basent pas juste sur les événements d'ordre environnementale, mais aussi que les gens doivent protéger les communautés des urgences. Que ce soit de toute sorte d'urgence, par exemple: les accidents, des phénomènes climatiques extrêmes et des crises nucléaire.

Les Green Star Awards montre la nécessité de continuer à travailler dans ce domaine et ils espèrent que les gens choisit seront des inspirations pour les autres. À chaque année, ils veulent également rechercher des lauréats de plus haut niveau, afin d'atteindre un public plus élargi qu'avant.

 

En 2011, les Green Star Awards avaient été remis à trois organisations: le Blacksmith institute, pour leurs efforts pour gérer des des sites très pollués; Médecins sans frontières de Hollande pour avoir fourni des soins médicaux dans plusieurs endroits frappés par la crise; et Terragraphics Environmental Engineering, pour leur travail sur la gestion des déchets.

Trois personnes ont été également récompensées individuellement en 2011: une écologiste écossaise, une architecte qui se concentre sur la sécurité sismique des bâtiments, ainsi qu'une parlementaire qui a mené un projet de reconstruction suite à des incendies dévastateurs.

 

Cette année les gens ont jusqu'au 15 mars 2013 pour envoyer leur candidature. Cette date a été choisie pour célébrer le 20e anniversaire de la Crois Verte Internationale.







Valérie Dupuis

Séisme du 7 décembre au Japon

Le 7 décembre, un séisme de magnitude 7,3 a frappé le Japon près de Tokyo. Ce séisme a causé un tsunami d'un mètre de hauteur. Le tsunami a frappé dans une zone déjà dévastée, à cause de la catastrophe de Fukushima qui a eu lieu en mars dernier. Heureusement, aucune victime et aucun dégâts majeurs ont été signalés. Seulement 5 personnes ont été légèrement blessées dans la préfecture. Fukushima fut la pire crise nucléaire que le monde ait connu depuis 25 ans, cette catastrophe a fait 20 000 morts, les radiations nucléaires se sont répandues dans la mer et dans l'air. Étant donné que le nouveau tsunami a frappé dans la même zone, ce facteur a peut-être aidé à réduire le nombre de victimes et de dégâts. Cependant, l'alerte au tsunami a été levée deux heures après la première secousse et des milliers d'habitants ont dû évacuer la zone. Pour un pays qui représente près de 20% des séismes mondiaux d'une magnitude de 6 et plus, la préparation aurait peut-être pu être meilleure. Ils ont été chanceux qu'il n'y ait pas plus de dégâts. L'an dernier, il y avait eu des évacuations de masse, ce qui a laissé une grande partie de la ville encore déserte. La fonte des réacteurs de la centrale nucléaire a également contaminée la nourriture et l'eau potable. Et une grande partie de la ville n'a pas encore été dégagée des déchets. Même si une telle catastrophe est toujours une événement malheureux, ils ont eu de la chance que le tsunami passe par la zone encore dévastée. Le Japon est l'un des pays les plus touchés par les séismes, il capte des secousses sismiques au moins toutes les 5 minutes. C'est pourquoi que le budget alloué pour les bâtiments résistants aux séismes est l'un des sujets électoraux les plus importants.

 

 

 

Valérie Dupuis

Le typhon Bopha au Philippines: le bilan

         Le typhon Bopha, qui a secoué le pays le 4 décembre et causée de nombreuses pertes humaines en est rendu à 700 morts. Les décès ne sont pas les seules conséquences de cette catastrophe; le pays compte également beaucoup de disparus, des pêcheurs, entre autres. Cette tempête est la plus puissante que les habitants des Philippines ont connue cette année.

         Le typhon Bopha aurait parcouru le sud de l’archipel dans la nuit de mardi à mercredi la semaine dernière. Cette catastrophe a provoqué 714 décès, quelques 880 disparus et 257 corps retrouvés mais non identifiés. Parmi les disparus, on compte 313 pêcheurs partis du principal port de pêche au thon du pays la veille de la venue du typhon qui ne sont jamais revenus depuis. De plus, on dénombre 115 000 logements détruits par le passage de cette tempête et plus de 116 000 personnes se trouvaient toujours dans des refuges et des bâtiments publics mardi dernier. Ces familles ne sont pas au bout de leur peine, puisqu’il se pourrait qu’elles y restent plusieurs mois avant que les maisons et les logements soient reconstruits.

 

      L’ONU demande aux pays et à la population de collaborer financièrement afin de rétablir le plus rapidement possible la situation aux Philippines. Elle désir récolter 65 millions de dollars pour venir en aide aux rescapés.

 

                  Typhon Washi

      Un an auparavant, soit en décembre 2011, le typhon Washi frappait cette région du monde. Celui-ci avait été un peu plus meurtrier; il avait causé la mort de 1200 personnes dans le nord de Mindanao.

 

 

 

Marie-Anne Vadeboncoeur