vendredi 30 novembre 2012

                                                            Résumer du texte
                             " La cartographie, entre science, art et manipulation "

        L'auteur Philipe Rekacewicz a comme objectifs de faire comprendre aux journalistes que certains pays sont en désaccord avec ce qu'ils écrivent, car parfois ils sont contre eux. A pour but aussi de faire changer la façon de penser envers les pays en conflits pour les journalistes.Ces hypothèses ne sont pas tous vrai, mais certaines peuvent l'être. Il a comme problématique ce n'est pas tout les journaliste qui veulent ne pas écrire contre ces pays puisque certains lecteurs sont intéressés à ce genre de choses.

        Il y a eu certain conflit entre pays dans le monde et plusieurs dure depuis des centaines d'années et ne sont pas prêt de finir. Par exemple, la vieille querelle entre le Sud-Coréen et le Japon. Les pays du monde sont encore en guerre à cause de la cartographie des endroits dans le monde ou seulement un pays en temps que tel. Les cartes de doivent pas avoir des minuscules territoires sinon la guerre peu être encore pire. Elle doit faire appel à la réalité et aux restrictions que les cartes doivent avoir.

       Bref, la cartographie entre la science, les arts et la manipulation va toujours être une querelle quoi qu'il arrive, car il va toujours y avoir quelqu'un de pas content.La cartographie va toujours être un vrai problème pour le monde entier.

Écrit par: Vanessa Thellend

                                        L'ouragan Sandy frappe rudement les États-Unis



Environ 60 millions d'habitants sont dans la trajectoire de Sandy dans l'est des États-Unis. C'est une grosse tempête tropicale qui est typique de la saison de la fin de l'été. Cette tempête viendra toucher le Québec et l'Ontario aussi avec des forte pluie et des gros vents. Le pire dans tout cela c'est que Sandy causera d'énorme dommages et des grosses pertes financières, environ 2.5 à 3 milliards de dollars de dommages. Elle touchera en parti New York, le Delawere, New Jersey, Washington et ces environs là. Les transports en communs ont dû être fermés pour plusieurs jours ainsi que les aéroports même Pierre-Elliott-Trudeau l'aéroport de Montréal. Les vacanciers n'étaient pas très contents, mais nous ne pouvons rien faire. Seulement patienter et attendre que Sandy soit passée sur ton terrain et par la suite ramasser les dégâts que cette tempête a causé.Voici la trajectoire de Sandy:














Cette tempête a fait des vent de plus de 120 km/h et environ 30 cm de pluies ce n'est pas rien. Les États-Unis ont dû fermer plusieurs écoles qui ont touchées environ 1.2 millions d'élèves.

















Vanessa Thellend

Un séisme de magnitude 4.5 sur l'échelle de Richter a été ressenti par une grosse parti de la population en Mauricie et au Centre-du-Québec

La population de la Mauricie et du Centre-du-Québec a ressenti un tremblement de terre de magnitude 4.5 sur l'échelle de Richter à 00:19 am le 10 octobre 2012. Ça a fait beaucoup parler le monde sur les réseaux sociaux surtout sur Facebook et twitter. L'épicentre de ce séisme était situé à Saint-Marc-sur-Richelieu, selon Séismes Canada. Plusieurs ont été réveillées par cette secousse qui a duré que 10 secondes maximum. Il a été assez puissant pour faire tomber une chaise de plastique, mais pas plus que cela. Il 'était pas assez fort pour faire des pannes de courants, effondrer des maisons ou tout autre choses comme cela. Certaines personnes croyaient que c'était un gros camion qui passait ou un train, mais elles se trompaient.
 

Un séisme de magnitude 4,5 secoue la région de Montréal


Un tremblement de terre se produit lorsque deux plaques se frottent l'une contre l'autre. C'est un mouvement de faille qui provoque des vibrations, donc un tremblement de terre. Ces ondes s'étendent partout sur la surface de la terre et en se rependant plusieurs régions peuvent sentir ce séisme.* un tremblement de terre est aussi appelé parfois un séisme.


 Un séisme de magnitude 4,5 ressenti en Mauricie
 
SOURCE:
 
Vanessa Thellend

lundi 26 novembre 2012





Conférence des plus intéressantes au Collège Shawinigan

 

Le mythe entourant les évènements prévus pour le 21 décembre 2012

 

Le mardi 20 novembre 2012, soit environ un mois avant l’énorme catastrophe annoncée dans les médias, un homme du nom de Sébastien Gauthier s’est rendu au Collège Shawinigan afin d’informer les étudiants sur cette possible fin du monde.

 

Sébastien Gauthier, communicateur scientifique et collaborateur au site internet «Cosmagora», a parlé du point de départ de l’annonce de la catastrophe et a aussi démentelé les supposées preuves apportées par de supposés scientifique.

 

Les faux communiquateurs scientifiques 

Ces gens se disent au service de la science et tente de convaincre la population du bien fondé de leur discours. Ces «scientifiques» sont en fait des adorateurs de la beauté du surnaturel : une étude qui ne s’applique pas toujours, ni nécessairement à la réalité. Ces personnes prétendent détenir la vérité, mais rien de ce qu’ils avancent n’a de preuve, puisqu’il s’agit de surnaturel. Le même principe s’observe avec l’existence de Dieu : il est possible qu’il existe réellement, mais rien ne peut le prouver hors de tout doute résonnable. C’est ainsi qe ces gens fonctionnent, mais le pauvre peuple les prennent  pour de vrais scientifiques et ont tendande à croire tout ce qu’ils disent.

 

Comment s'y prennent-ils?

Ils se basent sur des vérités, comme le calendrier Maya, ou le fait qu’il est possible que les planètes soient toutes alignées et en font des catastrophes. Ce qu’ils disent à la base est vrai, mais comment un alignement des planètes peut-il causer la fin du monde? Et pourquoi la fin d’un calandrier marque définitivement la fin de notre vie sur Terre? Voilà où se trouve le mensonge; dans la réponse. C’est ainsi qu’ils arrivent à ralier autant de gens, c’est en partant de vérité pour en finir avec des mensonges. Les gens se disent qu’ils disent vrai, puisque ce dont ils parlent existe vraiment.

 

Sébastien Gauthier a utilisé la science afin d’expliquer les phénomènes observés par les faux communiquateurs. Il a parlé du calendrier Maya, de l’alignement du système solaire avec un trou noir, de l’éruption solaire et de l’alignement des planètes.
 
 
LE CALANDRIER MAYA


Le calendrier Aztèque, condonfu avec le calendrier Maya par les adeptes du surnaturel, comme l’a expliqué le conférencier, s’arrête tous les 52 ans, ils est donc probable que cela soit ce qui est attendu en décembre 2012. De plus, le réel calendrier Maya se base sur les cycles des astres, tout comme le nôtre se base sur le temps que prend la terre pour faire un tour autour du Soleil. Même si notre calendrier s’arrête à chaque année, aucune fin du monde n’y est prévu. Pour les Mayas, ce calendrier est un peu comme le nôtre. Alors pourquoi prévoir une gigantesque catastrophe qui détruirait toute forme de vie sur Terre?

 

Un autre des éléments très intéressants de sa conférence est sans contredis la preuve qu’il a présenté à son public en ce qui concerne l’aligenement des planètes.

Il a déclaré, même démontré, que les planètes ne seraient pas alignées au soit disant jour fatidique, soit le 21 décembre 2012. Elles ne seront même pas près de l’être non plus. Alors pourquoi une telle déclaration de la part des faux-scientifiques?

 

En conclusion, la conférence était nettement enrichissante du fait qu’on y a réfuté de nombreux arguments évoqués par les faux-communiquateurs, ces adorateurs du surnaturel qui se font passer pour des scientifiques.

 

Écrit par Marie-Anne Vadeboncoeur

 

 

 

 

 

mardi 6 novembre 2012


ANALYSE DES FACTEURS DE VULNÉRABILITÉ DES POPULATIONS TOUCHÉES


La Birmanie, aussi appelé Myanmar est un pays de 54 millions d’habitants dont la plupart vive sous le seuil de le pauvreté. La superficie est de 676 578 km² et la densité de 79,8 hab/km². La Birmanie se situe en Asie du sud-est, au bord de l’Océan Indien. Il est entouré par la Thaïlande, le Laos, la Chine, l’Inde et le Bangladesh. Le cyclone Nargis a frappé la côte de la Birmanie le 3 mai 2008. Ce cyclone est le plus important que l’Asie ait connu en 18 ans. Il a fait approximativement 138 000 morts et disparus lors de son passage. Plusieurs facteurs ont influencés et augmentés la gravité de cette catastrophe naturelle, tels que la densité de le la population, la position géographique et la mauvaise gestion des autorités.
 

La Birmanie est une population pauvre et surpeuplée, ce qui augmente sa vulnérabilité face à une telle situation. Les birmans vivent énormément de l’agriculture et de la pêche. Une grande partie de la population vit bien sûr près de l’eau, donc lors de l’ouragan et des inondations, ils ont été durement touchés. De plus, quand il y a des terres près de l’eau, la vague de l’inondation peut se prolonger encore plus loin sur la terre ferme. Bien sûr leur économie a connu un dur choc. Les 600 000 hectares de terres agricoles inondées d’eau salée prendront des années à redevenir productible. Ainsi que les bateaux de pêche et les outils agricoles qui ont été détruits. Le remplacement de leurs équipements est en cours, mais prendrant encore plusieurs années. La population vit pauvre, tandis que le gouvernement, une dictature militaire, ne leur offre pas de services et préfère allouer 50% du budget aux dépenses militaires, contre 3% pour l’éducation et la santé. Les autorités vivent dans la peur permanente d'une attaque militaire américaine ou d'un nouveau soulèvement populaire.
 

Au départ, la trajectoire du cyclone nargis n’était pas supposé passer par la Birmanie, mais plutôt par le Bangladesh. Selon Mrityunjay Mohapatra, directeur du centre d'alerte pour les cyclones de l'IMD, lorsque le service météorologique indien a prévenu la Birmanie du changement de trajectoire, les autorités birmanes n’ont envoyé ni accusé de réception ni réponse. Encore une fois, selon Avaaz.org, une organisation de pression pour les droits humains, la junte birmane n'a ni prévenu ni évacué la population à temps et a coupé les communications. La population a du se débrouiller seul, sans l’aide du gouvernement. Alors les autorités n’ont pas mis de bonnes mesures préventives en place.



Ensuite, après le passage de cette catastrophe, la tragédie était loin d’être terminé. Le régime autoritaire birman qui est un des régimes les plus fermés du monde a décidé de contrôler l’aide venant de l’extérieure. En restreignant la liberté de la presse et en refusant la présence d’étrangers sur leur territoire, cela a rendu plus difficile la gestion de la crise. Ils croyaient que cela porterait atteinte à leur autorité. Mais heureusement, la communauté internationale a invitée le gouvernement à réduire ses restrictions pour que l’aide humanitaire et les secours se mettent en place. L’eau potable qui est déjà une denrée rare dans ce pays est devenu un plus grave problème encore après le passage de l’ouragan. Les désastres naturels augmentent la propagation de maladies dans l’eau. C’était donc un problème de plus à s’occuper. Il fallait vraiment que les autorités birmanes facilitent le travail des agences d’aide. Étant donné qu’au départ, le régime militaire avait prévenu les travailleurs humanitaires qu’ils ne pourraient peut-être pas entrer sur le territoire, ils ont attendu avant d’aller chercher leur visa, une étape plutôt longue. Les médecins avaient vraiment peur que le nombre de victimes augmentent, si les secours n’arriveraient pas rapidement. La population manquait de tout : eau, nourriture, abris et médicaments. Tout cette catastrophe aurait pu être gérée d’une meilleure façon, si le gouvernement se serait impliqué davantage dès le début et aurait mis en place en bon plan d’action face à une telle situation, surtout dans un coin du monde à risque aux désastres naturels. Et s’ils auraient été également moins fermés à l’aide extérieure et à la communication. Cela aurait probablement pu réduire le nombre de victimes et l’étendu des dégâts.
 
Écrit par Valérie Dupuis
Les conséquences environnementales et humaines du cyclone Nargis en Birmanie en 2008


Les conséquences sont immenses et cette catastrophe est l’une des plus grosses au monde. Nargis a fait plus de 140 000 morts et disparues, en particulier parce qu’il y a eu un gros manque d’eau potable, de nourritures et toutes ces ressources dont ils ont besoin à cause de cette catastrophe, car les eaux ont été pollué ainsi que les sols donc il est devenu impossible pour eux de faire de l’agriculture. La Birmanie a eu une perte importante de ressources naturelles. Toute les terres où la population faisait de l’agriculture est disparue et ils ont eu beaucoup de perte puisque Nargis a passé dessus toutes ces terres. Toutes les maisons de la ville ont été détruites, car elles ont été inondé et arraché par cette catastrophe. La santé de la population a diminué parce que l’eau n’est plus potable, il y a un gros manque de nourriture et l’environnement n’est plus autant bien propre comme il l’était avant. Le transport est maintenant inaccessible parce que la ville est inondée et les routes sont arrachées ou des débris sont sur la route ce qui les empêches de circuler avec leur véhicule ou le transport en commun. Pendant un certain temps le climat a changé dans une grosse partie du monde, mais pas sur toute la terre. Plusieurs écosystèmes ont été détruits, donc tout ceux qui se trouvait là sont morts ou seulement disparues, mais peut en sont sorti vivant. Bref, le mode de vie de cette population n’est plus la même et elle le sera pour encore plusieurs années.
Vanessa Thellend

lundi 5 novembre 2012


   Les interventions d'urgences et les conséquences géopolitiques

 
      Le cyclone Nargis qui balaya, en 2008, la Birmanie a causé approximativement 138 000 morts et disparus. Le nombre important de décès est dû, entre autres, à la force de l’ouragan. Par contre, le peu d’interventions d’urgence est aussi en cause dans ce cas-ci.  Ce sont les mauvaises décisions du gouvernement qui sont à blâmer dans cette affaire. Cet ouragan n’a pas qu’amené des décès, elle a aussi entraîné des conséquences au niveau politique. Pour vous aider à bien comprendre les impacts de cette catastrophe, voici un résumé de toutes les erreurs commises ainsi que des soucis du côté de la politique.

 

La réaction du gouvernement face à l’aide internationale

      Le régime militaire en place en Birmanie s’est montré particulièrement fermé quant aux offres d’aide des autres pays. Ils n’acceptaient aucun journaliste et aucune équipe de recherche et de secours. Ils acceptaient par contre les vivres et toutes autres marchandises pouvant être acheminé par leurs propres travailleurs sans avoir à faire entrer des équipes d’urgence de autres pays chez eux. Selon eux, la meilleure aide à apporter à la population était des vivres, des générateurs électriques, des médicaments, des vêtements, des matériaux pour les abris d’urgence et une aide financière.  Les  premières aides sont venues de la Thaïlande et de l’Inde par bateaux et avions. Le pays a insisté pour distribuer lui-même la marchandise reçue auprès des sinistrés, malgré le nombre restreint de bateaux et d’hélicoptères employés pour rejoindre les zones sinistrées. On qualifia cette décision de << sans précédent >> par le programme alimentaire mondial et la PAM s’inquiétait fortement des décisions prises par le gouvernement d’interdire toutes interventions d’urgence dans son pays. Le secrétaire général de l’ONU aurait même tenté de faire accepter les travailleurs humanitaires par la junte militaire, mais son avancée n’aurait pas été reçue telle que souhaité.

 
       Le 14 mai, soit 12 jours après la venue du cyclone, le commandant de l’US Air Force dans le Pacifique a enfin reçu la permission d’envoyer des avions de transport pour transporter du matériel sur l’aéroport internationale de Yangon. Malgré cette sage décision, les États-Unis ont essuyé un refus catégorique de l’armée Birmane de livrer les quelques 400 000 tonnes métriques d'eau potable, de toiles de plastiques, de nécessaires d'hygiène, de couvertures, de filets anti-moustiques, de contenants pour transporter l'eau et de nourriture.

      Le 15 mai, la junte a permis la venue de 160 travailleurs humanitaires indiens, chinois, bangladais et thaïlandais et le 20 mai, l’ONU a reçu le feu vert de la junte militaire pour affecter neuf hélicoptères à l’acheminement de vivres aux victimes du cyclone. À ce moment précis, seulement 20 % de la population avait eu accès à l’aide humanitaire, on ne peut donc pas qualifier d’efficace les décisions du gouvernement concernant les mesures à prendre pour le bien de la population. En effet, l’aide était si mal structurée de la part du gouvernement que la population elle-même devait ramasser les débris et recueillir des denrées alimentaires. Différents groupes au sein de la population ont fait énormément d’efforts afin de distribuer des vivres à la population touchée par le cyclone Nargis. Ces efforts étaient bien souvent réduits à néant par le gouvernement en place, qui formait des frontières et empêchant ainsi les bénévoles de traverser. Ils interceptaient également leurs denrées pour qu’elles soient distribuées par l’armée.

      Finalement, le 23 mai, suite à la rencontre de Ban ki-moon et Than Shwe, la junte militaire accepta de laisser entrer tous les travailleurs humanitaires. Après cette déclaration, l’ONU envoya des experts afin d’évaluer les besoins de la population durement touchée par l’ouragan.

      Malgré l’autorisation reçue, le 25 mai, le gouvernement refusait toujours de laisser accoster un bateau français rempli de vivres, qui mouillait au large de la zone sinistré depuis déjà  8 jours. Des navires des marines américaines et britanniques, qui se trouvaient eux aussi dans le secteur, se voyaient l’accès au port refusé. La junte militaire craignait une invasion armée.

      Le mardi 27 mai, l’ONU et Médecins sans frontières ont affirmés que plusieurs travailleurs humanitaires arrivaient finalement dans le delta de l’Irrawaddy grâce aux nombreux visas que le gouvernement de Birmanie avait enfin octroyés. Malgré ces mesures prises par le gouvernement, les risques d’épidémie restaient élevés à cause de la transmission possible de maladie par l’eau et les moustiques.

      Étonnamment, le 2 juin, soit un mois après le passage de l’ouragan, la moitié des victimes n’avaient pas été secourues...

     
 
 
 
      On peut donc conclure que les autorités birmanes n’ont pas été très efficaces en ce qui concerne les secours à apporter à la population affectée par le cyclone Nargis. On peut également constater que malgré les différents politiques (pays en conflit), l’aide a été fortement proposée, on peut y voir même de l’insistance afin de secourir les sinistrées. L’hésitation venait de la part du gouvernement. L’aide n’est pas seulement venue des pays se situant près de la Birmanie, mais aussi des États-Unis, du Canada et d’autres pays éloignés. Autant des pays près de la zone sinistré que des pays plus reculés, l’aide venait en très grande quantité ; vivres, vêtements, abris, médicaments, dons monétaires etc. Par contre, après la constatation de la réaction du gouvernement face à l’aide étrangère, les dons en argent ont quelques peu diminués. Si l’on compare avec d’autres catastrophes semblables en terme de dégâts, les dons sont moins important pour celui-ci, cela serait dû au caractère controversé du régime birman.

                                                                                            Les bénévoles humanitaires
      Avant que la junte militaire accepte les travailleurs humanitaires à circuler dans le pays et porter secours aux survivants, les seuls bénévoles venaient de la Birmanie même et n’avaient aucune expérience. Ce sont des équipes d’experts européens qui leur ont donné quelques instructions avant que ceux-ci ne quittent Ragoun pour se rendre dans les zones sinistrées. Il est certain que les premiers sauveteurs ont contribué à la survie de la population touchée par la tempête, mais s’ils avaient été expérimentés, cela aurait été encore plus bénéfique. De plus, si les autorités birmanes avaient acceptées dès les premiers jours suivant la catastrophe l’aide qui lui était proposée, l’efficacité des sauveteurs auraient été grandement améliorée.

 





Les Conséquences géopolitiques

      Devant le refus de l'aide internatioanle de la junte militaire en Birmanie, le gouvernement de Georges Bush a décidé de prolonger les sanctions prises par les États-Unis contre la junte birmane d'un an. Il justifie cette prolongation par la <<répression à grande échelle>> de la démocratie, sont toujours <<hostiles aux intérêts des Etats-Unis>> et représentent <<une menace continue et extraordinaire pour la sécurité nationale et la politique étrangère des Etats-Unis>>.
     
     De plus, les agissements du gouvernement Birman en ce qui à trait aux secours offerts aux sinistrés n'ont pas été très bien reçus à l'échelle internationale. La perception de la population face à la Birmanie a grandement diminuée depuis le cyclone Nargis.
      L’heure tardive à laquelle a décidé d’agir la junte militaire a beaucoup choquée l’opinion publique et les ONG. La perception de ce pays ne s’est guère améliorée, elle s’est plutôt dégradée après le passage de l’ouragan. Déjà, du fait que le gouvernement est dictatorial, la perception de la Birmanie par les pays où la démocratie est à l’œuvre n’était pas très bonne, mais avec la catastrophe qui a frappé le pays, elle l’est encore moins. Les mesures d’urgence, qui étaient plutôt inexistantes, se sont avérées être pratiquement superflues du fait que peu de choses ont été accomplies pendant la période où les travailleurs humanitaires n’avaient pas accès au pays.

 
                       La reconstruction
      Un an après le cyclone Nargis, une bonne partie de la reconstruction avait été faite…par la population elle-même, avec le peu de matériaux qu’ils ont pu trouver, comme des bambous, ce qui n’est pas très résistant en cas de fortes tempêtes. Néanmoins, les habitants se sont retroussés les manches et ont mis leur efforts ensemble afin d’avoir une vie convenable. Ils sont restés solidaires et ont tous contribués à reconstruire les maisons et les bâtisses, à planter dans arbres ainsi qu’à cultiver.

      Par contre, de nombreuses personnes vivent toujours dans des huttes recouvertes de bâches. Aucune mesure n’a été prise par le gouvernement pour empêcher, ou du moins, diminuer les impacts d’une telle catastrophe. La population n’est nullement à l’abris d’une nouvelle tempête qui pourrait surgir.

                                                                                            
                                                                                                            Conclusion
         Association Humanitaire Birm'Unie
          En bref, la Birmanie a énormément souffert du cyclone Nargis qui l’a frappé le 2 mai 2008 en raison, notamment, des mauvaises décisions de la junte militaire qui refusait toute présence étrangère dans son pays. Ainsi, beaucoup de sinistrés n’ont reçu que beaucoup plus tard les secours dont ils avaient besoin. De plus, l'image de la Birmanie s'est beaucoup dégradée avec l'arrivé de l'ouragan Nargis.

 

Marie-Anne Vadeboncoeur

 

Références

Birmanie – Myanmar

AIDE"Trop tard, tout le monde est déjà mort"


 
Cyclone Nargis


 

Birmanie: un an après, le triste souvenir de Nargis